Illustre Monsieur,

Envoyé a Londres par la Royal et Imperial Accademie “La Scuola Italica” de Rome, pour étudier et savoir plus de prés la Théorie de l’évolution sur la formation naturelle des existences, par Vous doctement annoncé et einsegné.

C’est presque un an que avec satisfaction de mon ésprit j’ai meditée sur la même, et aujourd’hui je suis dans la nécessité de Vous demander ci pour la Votre Théorie réellement Vous intendez trouver vraies les deux opinions des positivistes à la Compte, c’est à dire; l’athéisme et le materialisme d’ôu la matière, être absolu, non celui des ontologes au principe de causalité substituée celui des causes à l’infini, c’est à dire, que la série des causes ne finissant jamais ons à pas lieux à se tranquilliser dans une cause primière.² L’accademie ci-dessu, à pour son but de soutenir la sapience primitive Italique d’ôu le Teo distingué de l’Ile. Dieu, Être absolu, principe incrée et néccessairement créateur; cause primière des causes secondes.³

Et par la Théorie de l’évolution et par la lutte pour l’existence, justement vos sublimes idées; l’Accademie intende de trouver l’existence d’une intelligence ordonnatrice et prévidente, au lieux de la niér comme les proselytes de Votre Théorie, positivistes fanatiques qui n’entendaient que a faire la guerre au absolu à Dieu, défendu par la saine philosophie que eut le berceau en Italie d’ôu son primat en ordre au pensée et à la vraie science.

Comme ça les honorables savants de la R. I. Accademie, croyent faire honneur à Vos études, et par mon moyen aujourd’hui il se présentaient à Vous désireux d’avoir une reponse au propos pour avoir raison de en faire partécipe le monde scientifique, par Rome. L’avoir nous comprise Votre opinion externée dans Vos derniers ouvrages attribuant aux animeaux les sens non seulement ésthétique, mai aussi le moral jusque au religieux, des simples acts psycologiques rationals dans les formes rudimentales, pouvons nous voir en Vous le plus docte défenseur de l’animation general de la matière, et encore on peut comprendre en Vous le savant qui voit dans la conception de la matière des moderne positivistes, qu’il n’est pas licite de dévorcier par Dieu, par l’ésprit, et non pas admettre l’iminent force qui faite passer toutes les attitude de la substance mondiale par la puissance à l’act, faisand le parcourir sur le chemin ascendental qu’il s’appelle progres cosmique avec intelligence et intentionnalitè. En conclusion, illustre Monsieur, pour Votre Théorie glorieusement objectivée avec Votre nom insigne, par tous les savants de l’Europe, la cause de Dieu et celle de la science, est une!

Veuille Dieu Vous garder longuement en honneur des sciences, que moi avec toute mon ésprit je ne cèsserai jamais d’être | Votre admirateur obsequieux | Comm. Prof^r. G. E. Mengozzi M.D. | Presidente Eff. Reale ed Imper. Accademia | La Scuola Italica in Roma.

À l’Illustre Monsieur | Charles Darwin M.A., F.R.S. ect. | Down Beckenham Kent