Très honoré Monsieur,

Après avoir reçu des refus de deux éditeurs, je suis depuis plusieurs semaines sans réponse définitive d’un troisième auquel j’ai envoyé votre ouvrage pour qu’il en prît connaissance. Dans cet état de choses et eu égard à votre honorée du 31 janv., je crois de mon devoir de renoncer, et je le fais avec grand regret, à la traduction projètée.² Ce qui me fait surtout de la peine c’est de n’avoir pas pu contribuer pour ma part à faire connaître vos écrits en Italie. Tant mieux si un autre réussit mieux que moi dans l’entreprise.

Je dois, en outre, vous exprimer mes regrets de vous avoir tant dérangé inutilement, bien que contre ma volonté.

J’espère que pendant de longues années encore les forces ne vous manqueront pas de donner au monde scientifique de nouveaux écrits—et je vous prie d’agréer l’expression de haute estime et de vénération que je professe pour vous.

C. I. Forsyth Major.